vendredi 28 mars 2025

Dans ma tête


 

Serge 

Dans ma tête

 Tu es dans mes pensées, tu sais. Les paysages qui t’accompagnent illuminent mes yeux. Je les vois s’ouvrir au printemps des amours. Ils rayonnent de brise et de soleil. Le vent joue des airs mélodieux. Les grands champs s’habillent de fleurs et les ruisseaux gazouillent à nouveau étreignant ton ombre. Oh vois, la mer, si elle berce mon cœur c’est parce que tu l’aimes.  J’aime à penser à toi car la vie n’est que merveille. Tout est sublime !  

 Souvent mon esprit s’égare dans l’errance et je repense aux quelques fois où je t’ai vu tout à fait par hasard, mon cœur alors s’emballe battant la chamade. Je sens sur mon corps des frissons d’ivresse et cette fièvre dépassant l’entendement me grise. Avec toi dans ma rêverie, le bonheur accoste dans mes yeux.

  Comme ils sont beaux tous les oiseaux dans ma tête. Ils murmurent des chants d’amour. La musque remplit mon cœur de toi.  Je t’aime autant que la ronde des saisons qui apporte sa douceur.  Je t’aime pour tes sourires dans les yeux et ses étoiles qui traversent jusqu’à dans mes yeux. Je t’aime pour ta voix grave mon désirable amour.  Je t’aime car c’est toi qui fais chanter mon âme.

 Vois la corbeille de tous mes mots d’amour pour toi portent la tendresse.  Vois comme le bleu des cieux finit toujours par m’apporter des avalanches d’espérance quand je pense à toi. Si j’ai tant de purs sentiments à ton égard, crois-tu que je ne ferais pas ton bonheur ?   Pourquoi ne m’aimes-tu pas? Pourquoi au moins ne me le dis-tu pas, pourquoi ?

©Janedeau

 


mercredi 26 mars 2025

Vois dans mes yeux





Serge

Vois dans mes yeux

Il pleut dans mes yeux cette douleur de l’absence qu’à chaque jour venu, c’est un enfer à revivre. Toutes ses questions que je me pose demeurent sans réponse. Pour te voir, j’escalade la cime de mes pensées. La nuit, je croise le vent pour percevoir l’écho de ta voix. Dieu qu’elle me parait loin, à des années lumières. Où es-tu mon insaisissable amour, tu danses avec le vent que tu étreins.

 Dans mon gîte, j’écris ton nom sur les murs de ma raison.  Mais l’air est lourd, le chagrin me brise, j’ai le cœur brisé. Je prie chaque nuit pour te rêver, te voir et te sentir près de moi. Mais seule la lune demeure mon allié.

 Comment peut-on en venir à aimer autant ? Et comment ne peux-tu pas le voir ?  Ton nom, je l’ai crié tant de fois jusqu’à n’avoir plus de voix.  Sur la passerelle des vagues, j’ai monté jusqu’aux étoiles pour trouver celle dans tes yeux.  Mais le ciel défait a refait glisser des perles de neige. L’hiver a repris son trône.

 J’attends toujours la majestuosité des beaux jours du printemps pour reprendre espoir. Je voudrais tant que tu viennes dans mon oasis, m’apporter des croissants de soleil. Que dans mes yeux, l’horizon des brises me parle de toi. 

 J’ai encore sur ma carte du tendre, ton visage imprimé. Pourtant malgré tant d’intempéries passées en mon cœur, ton image est restée intacte. Me reviendras-tu avec les beaux jours du printemps ? La rivière bleue dans mes yeux berce ton nom mon hypersensible amour                                                                       

©Janedeau