Quand je te vois

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♥ Serge ♥

 

Quand je te vois

Quand tu es là, je te revois ombre solitaire, dans ce temple où j’ai connu l’amour. Où tu as pris un baiser. L’azur du ciel m’est apparu. Oh volupté, oh délices. Ce jardin secret né en chaque automne est resté toujours aussi beau et m’invite en ton rêve.

 Je couche ton souvenir dans ma mémoire. Je revois les sourires de tes yeux et je sens frissonner sur ma peau, des milliers d’étoiles. Le cœur ivre, je t’espère et je t’attends. Je mène ma barque sur les océans de tes yeux.

 Mon amour, je dois être forte car je sais que tu vas me revenir. Car à part moi, qui a pu t’aimer autant ? Notre amour est un jardin de roses qui longe les rives d’un ruisseau argenté d’une fugitive aurore qui me montre ton image et peint notre bonheur.

Quand je te vois, mon cœur palpite tel un bateau ivre. Tu es le plus beau des hommes et mon cœur sait que je t’aime.  Si tu vois dans mes yeux un amoureux désir, si ma main cherche la tienne et t’attire, viens, prends-moi, emmène-moi au torrent de tes lèvres que j’y dépose en ton étreinte, un infini baiser.                 ©Janedeau

Souffrance

 

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♥ Serge ♥

Souffrance

Ma souffrance se perd au gré des vents. La pluie déracine mon cœur.  Il n’est pas venu, son ombre sillonne mes jours. Ô Dieu, je ne sais quelle tristesse m’habite mais la pensée cruelle qu’il ne m’aime pas me fait perdre la raison.

 Dieu… mais existe-il vraiment ? Je l’ai presque rencontré mais il m’a ramené sur la terre. Écrire est comme mettre un passement sur une plaie. Le mal pourtant n’en guérit pas.

 J’ai tant espéré, tant cru, tant voulu, tant désiré mais chaque jour qui vient descend, m’emportant dans l’abîme des chagrins.

 Toi tu dors dans l’ombre de mes plus beaux souvenirs. Parfois je veux les éclairés mais le souffle du vent éteint tout. Est-ce que tu dis à d’autre des mots d’amour que je voudrais entendre ? Ma souffrance se perd dans les boisés de l’errance et parfois je tombe, je tombe                                                                                                ©Janedeau

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juste un mot

 

Ses jours-ci,je vis des up and down très difficile

hier, tellement épuisée

qu'à 6 heure j'ai dû me coucher

et me suis endormie toute suite

et réveillée à une heure am 

J'ai oublié de fermer ici

Ne me juger pas car vous ne connaissez pas  ma souffrance

 

Partir

 

Malgré ce beau soleil du jour

J’ai voulu et failli passer sur l’autre bord

Vous ne m’auriez plus jamais vue

 

Il y a des jours où je suis morte

 

Rien sur mes autres blogs

Jane

Quand je t'ai rencontré

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♥Serge ♥

  Quand je t'ai rencontré

 Quand je t'ai rencontré, les fleurs avaient plus d'éclat qu'aujourd'hui, les couleurs de l’automne étaient plus belles, ton soleil blotti sur ton épaule me caressait, ton ciel d’azur plus enchanté me ravissait. Rien a mes yeux n’égalait la beauté de ton cœur.

Même les grandes voix de l’automne, enregistraient ton nom dans ma tête, c’était les plus beaux jours de ma vie. À travers la cime des arbres, tous les oiseaux célébraient la noce. Mon amour, désormais tu gites dans mon cœur. Nul autre n’y a accès. Entendras-tu ma prière qui t’appelle, entendras-tu battre mon cœur qui ne pense qu’à toi ? Répondras-tu à mon amour ?

 Maintenant, aux terres d’exil, j’emporte ton image. De rivage en rivage, tu m’accompagnes. Le cœur ému, ton souvenir embellit mes rêves et met des dans mes yeux des cortèges d'étoiles. Comme tu es beau mon amour ! Reviens-moi.                      ©Janedeau

 

Entendras-tu

À partir de 2:09:10, j'ai écrit sur cet air, ma préférée

La musique est tellement belle 

 

.♥ Serge ♥

Entendras-tu

Ma peine suit le long cours de ta rivière bleue que tu as laissé derrière toi pourtant je l’aimais tant. Les souvenirs abordent mon rivage et les soupirs de l’automne balancent des feuilles mortes sur la terre comme se meurt mon cœur qu’il a pris.

 Mon amour pourquoi m’as-tu quittée ? Nos conversations étaient pourtant si harmonieuses. Qu’ai-je dont fait pour te perdre ? Il y a des jours où ma douleur soulève des larmes et je cherche dans leurs flots une route inconnue qui me conduirait jusqu’à toi.

 Dans mes profondes retraites, je m’enfonce dans ton rêve. Je me demande si tu as donné à une autre mes mêmes passions secrètes? À cette pensée, j’ai mal, d’un mal inguérissable. Je voudrais te prendre, te rencontrer, te parler. Se peut-il que mes mots te laissent dans l’indifférence ? Si je n’étais pas aussi gênée mais je t’ai dits, je ne suis pas comme les autres.

 Tu ne m’as pas laissé ma chance d’être l’amour de ta vie. J’y ai même perdu mon cœur. Quand je sors, je cherche asile vers les grands bois solitaires où tous les oiseaux connaissent ma peine. Le froid sur mon corps jette comme un frisson, un baume sur ma douleur. Je voudrais alors m’arrêter, m’agenouiller et laisser mon corps gelé sombrer dans les eaux tumultueuses de l’oubli.

 Comment vivre maintenant et trouver dans le soleil, un ami ? Il fait noir dans mon âme, seuls les mots pour toi, si tu les lis,  me consolent..  Peux-tu comprendre ? Je n’ai rencontré que toi, les autres, je les ai tous refusés, personne n’a pu me conquérir. Mon cœur n’a été que pour toi. Et chaque jour, m’est pénible, je ne peux t’oublier. Je voudrais m’enfoncer dans les déboires de la boisson pour ne plus avoir mal.  

Mon hypersensible amour, entendras-tu ma détresse ? Est-ce que tous mes espoirs, mes prières, mes supplications, d'implorer le Dieu très haut te ramènera auprès de moi ?                                                                                                 ©Janedeau