Dans tes yeux

♥ Serge ♥

Dans tes yeux

J’ai vu l’automne dans tes yeux. Les couleurs s’harmonisaient avec mes états d’âme. Mon palais se remplissait de ton soleil qui dérobait tout l’or des ciels d’été.

 Je sais que j’existe dans tes yeux. Que je navigue sur la cime des vagues qui t’emportent rêver. Tes balades se faufilent dans les rumeurs de mon jardin. Et j’écoute l’écho du vent qui me conduit jusqu’à ta voix.

 Mon cœur t’appelle encore sur les rivages de ton ile d’errance. Et je me perds dans la contemplation du friselis des ondes me noyant sous l’ivresse de tes lèvres que j’imagine.  Ô mon amour, je veux te voir, te parler, entendre ton souffle.

 Vois, sans toi, je n’ai que mon songe pour éveiller mon amour pour toi qui s’est endormi dans ma solitude.                                                                     ©Janedeau

 

C'était lui

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♥ Serge ♥

C’était lui

C’était lui qui avait les plus beaux sourires qui brillaient dans ses yeux, lui qui prenait la place du soleil dans mon coeur, qui descendait dans la brume de mes errances pour faire miroiter son image dans les ruisseaux désaltérants qui m’emportaient rêver.

 C’était lui, mon grand amour de rivière bleue, que je ne peux oublier. Qui un jour, a nourri ma vie. Voyez tout l’univers spacieux me remplit de lui dans tout ce qui tombe sous mes yeux. C’est à ses lèvres que j’ai gouté au bonheur. Ses baisers étaient encore plus doux que les saisons d’été.

 Dans mes rêves solitaires, je dors avec lui dans sa main et la nuit boit nos palpitantes ivresses. J’aime entendre frémir sa voix dans la douceur des vents du désir qui réveille l’amour. Oh mon bien-aimé, danse avec moi sur un slow d’éternité. Éclaire mes yeux d’un azur étoilé. Je veux porter ton nom parce que je t'aime.                                                                                                 ©Janedeau

 

Si peu

 Je demandais si peu

Des sourires dans les yeux

Et des étoiles accostant dans les miens 

Être deux 

Rien de rien

 ♥ Serge ♥

Rien de rien

Le temps arrêté me plonge dans l’abîme où je ne peux plus remonter. Vois je me noie dans mon désespoir. La solitude me tient dans les murailles des prisons.

 Je ne suis plus rien, il faut m’oublier. Dans mon cœur, l’espoir s’est tût. Le ciel ensoleillé ne me parvient pas car je suis à des années lumières.

 L’amour s’est éloigné sur un autre chemin sans voix. J’ai perdu tout goût de vivre. Plus personne ne me voit. Dans ma tête, le vide m’emporte dans d’autres sphères inconnues.

 Pourtant je voulais vivre, je t’ai appelé tant de fois que j’ai fini par tomber, je n’ai plus de voix. L’automne n’écrit plus que ma tristesse. Je pense qu'est finie ma vie. 

©Janedeau

 

Ton absence

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♥ Serge ♥

Ton absence

Ton absence en ses beaux jours met dans mon cœur de la nostalgie. Le ciel parfois gonflé de pluie brode de la tristesse au chœur de mes mots.

Vois, j’erre dans les domaines de l’impensable, pensant que seule au monde, je trébuche dans les embâcles de ma peine. Le jour pourtant descend se cachant derrière le crépuscule.

 Oh limpide coucher de soleil, tu t’étends juste dans ses yeux. Dans le soir qui marche dans ses pas, je ferme les yeux, portant sur mes épaules, le lourd fardeau de ton absence.

 Ma pensée se perd dans le dédale des nuées.  Je n’ai pas eu ma chance, incomprise je suis morte un jour d’automne. Dans mon cœur qui se meurt d’amour, j’ai soif de toi.

 Quelle est donc ta pensée ? De ne jamais revenir ? Chaque jour, je dois afficher un semblant d’étoile dans mes yeux. Mais la chaleur du soleil n’atteint pas mon cœur. Il est comme un arbre coupé, sans racine attendant d’être jeté au feu et brûlé.                                                                                                      ©Janedeau

 

-La phrase: tu étends dans ses yeux : Je parle dans les yeux de celui que j'aime

 pareille pour la phrase : le soir qui marche dans ses pas 

 

*

Mon rendez-vous médical m'a donné de bonnes nouvelles

Ma chirurgie guérit bien,  là on avait vraiment fait un gros travail

Et mes nombreux points de suture ont tenus

Si j'ai mal plus à un endroit particulier c'est sans doute que la guérison 

n'est pas encore complète ! Mon prochain rendez-vous 

à St-Romuald est le 9 décembre (si tout va bien)

sinon, je dois les appeler et revenir plutôt. 

Bon mercredi à tous 

 

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Tout ce qui est de toi

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* 

Demain pm, j'ai mon rendez-vous à St-Romuald 

J'ai encore du mal...

 

Et puis je traverse "un deuil"  présentement

Une personne qui m'a été proche il y a très longtemps ! 

On est comme une brume qui passe

On ne sait ce que demain sera fait

Donc il faut dire je t'aime tandis qu'il est encore temps 

♥ Serge ♥

Tout ce qui est de toi

J'aime ses accords de guitares qui me parlent de toi. J'aime l'amour qui chante pour toi dans mon cœur. Tu ne viens pas mais je sais que tu m’aimes. Le ciel descend avec le soleil, je sais que c’est ton bonheur. Si tu voulais, tu pourrais le partager avec moi.

 Quand je pense à toi, les étoiles abondent dans mes yeux. Et c’est jour de fête, tous les oiseaux viennent à moi, chantant et le vent qui est ton ami m’apporte l’écho de ta voix. Voit mon amour comme je suis sensible à tout ce qui est de toi.

 J’aime les sourires dans tes yeux, je les revois souvent comme si c’était hier. Et le bonheur qui t’affectionne rayonne sur mon visage. Tu devrais voir comme mon amour pour toi chante dans mon cœur.

Qu’attends-tu, dis-moi, que le temps s’arrête ? Mais pour moi, il s’est arrêté un jour d’automne. Et depuis les ruisseaux remplissent de perles bleues ta rivière bleue que j’ai connue.

 Tu ne m’as pas oubliée, je sais. Reviens-moi, tu sais que j’ai gardé ta place. Je veux plus que ta pensée. Oh mon hypersensible amour, reviens moi, je t’aime. Je veux ton visage, tes yeux, ta voix et ton corps.                                     ©Janedeau

Il fait si noir

 

♥Serge ♥

L'amour pourtant une source de joie 

Il fait si noir

L’automne mène le bal des couleurs et chantent les oiseaux. Les feuilles dansent et virevoltent au vent avec mon âme qui erre dans des brumes de mélancolie.

 À la porte de mon cœur, tu es entré les mains vides sans soleil dans ta voix. La nuit dormait dans tes yeux. Et sur tes lèvres, le silence se taisait.

 Jamais je n’ai été autant perdu, pareille à la fontaine descendant du bois buvant la rareté des ondes ruisselantes.  Chaque matin, je suis lasse d’ouvrir les yeux, les étoiles désertent aussitôt sous l’aube qui perce la clarté.

 Mais dans mon cœur, il fait encore noir, je ne crois plus aux miracles de l’automne. L’automne est peau de chagrin et ses larmes pleuvent parfois sous un ciel en grisaille.

 Comment as-tu pu rester aussi indifférent à toutes ses iles qui s’amoncellent sous tes yeux ? Les mots ne te suffisent pas. Tu ne ressens rien. Pour toi, il n’y a que ce monde sans chaleur, que ses enfants qui ne sont pas les tiens et ses balades qui t’emportent dans l’oubli. Est-ce cela ton bonheur ?

 As-tu pensé au soleil de nuit resté endormi au fond de mon cœur ? Tu aurais tellement pu me dire d’oublier ce temps arrêté sur un souvenir. 

Plus que les jours passent, plus je m’enfonce dans le murmure des rêves. Seule ton ombre enlace la mienne dans une faible lueur qui pourtant me brûle.  Oh amour, hypersensible amour, auras-tu pitié de ma détresse ?                ©Janedeau