Pour toi

 

Serge

Pour toi

J’ai cueilli en ce jour les plus belles pensées. Toutes me montraient ton visage, les sourire dans tes yeux. Ta main que je désire prendre dans la mienne. Oh mon amour, j’ai aussi entendu ta voix dans ma tête.

Nul instant ne fut plus beau ni plus doux que toi dans le refuge mes pensées. Je ferme les yeux, pour te voir et te revoir encore. Je ne suis jamais rassasiée, car je t’aime infiniment. Déjà quatre ans qui se sont envolés, le temps est pénible car il veut effacer les ombres.  

 J’espère tellement te voir avec mes yeux, t’avoir devant moi. Même le rêve, s’il est doux, il ne comble pas entièrement mon cœur.

 En ce jour ombragé, j’ai regardé le monde ne pensant qu’à t’apercevoir. Mais où aller, où te voir ?  Je voudrais être petit oiseau et chanter pour toi. Ou encore être fleur entre tes mains.

 Je me demande si une autre a pu t’aimer plus que moi. Et toi, a qui donneras-tu ton cœur ?  Est-ce que tu lis mes mots d’amour ?  Ce soir, la tristesse rentre dans mon cœur. J’ai dans les yeux, des nattes de brouillard. Tu me manques tellement.                                                                                               ©Janedeau

 

Viens

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Serge

 Viens

Pendant tout le jour, sous l’empire des cieux, je me suis posée dans le jardin de tes errances. Je sais que tu es là et que tu m’aimes. Cette escapade a mis dans mon regard, des millions d’étoiles. L’amour reconquis a déposé dans mes yeux, le bonheur. Car je sais que tu m’aimes.

 Oh que j’aime à te voir dans ma rêverie, tu t’empares de ma nuit, tu es mon refuge. Tu fais étinceler sous l’haleine des vents, des palais de brouillard. Le soleil plonge ton amour dans mon cœur.

 De l’aurore au crépuscule, ma pensée te rejoint. Et du soir au matin, tu dors dans mes bras. Je rêve et je rêve éveiller écoutant dans un souffle, le cours de ta vie. Tes lèvres m’attirent, tes yeux me captives. Tes mains m’enserrent et je sais que je t’appartiens.

 Mon amour, il n’y a pas plus belle voie à suivre que celle du bonheur que je veux partager avec toi. Ta voix me grise et m’enivre. Nos ombres s’entremêlent sous l’arche du désir.

 Viens, rejoins-moi, fais encore chanter chacun de mes soupirs. Je languis de ton amour, je veux de ce rêve, en faire une réalité. De te voir, prendre ta main et t’emporter jusqu’au bout de l’éternité.                                                                    ©Janedeau

Amour : les amoureux

 

Rien qu'un signe

 

Serge

 

Rien qu’un signe

Mon amour, tu es là, je le sais et le ressens si fort. Je l’ai discernée quand tu as écouté ma peine, celle où j’épanchais ma douleur. Ta présence adoucie mes jours en y mettant un baume dans mon cœur. À ta pensée, mon âme palpite. Le bonheur me grise.

 Le soleil sur la cime des avalanches de pluie m’a donné ce soir un signe. Je sais que bientôt, tu viendras partager ma vie. Que les nués de l’aurore sèmeront des perles de rosée, mes baisers ne seront que pour toi.

 Oh mon grand amour, je rêve de ce jour. D’ici là, tu ne quittes pas mon cœur. Et jour et nuit, je t’étreins dans mes bras, si fort que c’est comme si tu étais là. Je vois ton visage, je vois tes yeux, j'entends ta voix. Je t’aime tellement. Ne tarde pas, mon coeur t'appelle.

©Janedeau

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Dis-moi

 Étant très fatiguée ce soir

et n'ayant aucune énergie dans les muscles

Je n'avais pas trop d'inspiration 

 

 

 

 

Serge

Dis-moi

 Ton image ce soir dort sur mon cœur, les oiseaux ont pris ta voix pour des chants. Dans ma tristesse, je m’enfonce dans les marécages de la solitude.

 Mon amour, tu me manques tellement, quand reviendras-tu ? Vois-tu le temps fuir les heures. J’ai le sentiment de devoir attendre encore une éternité. Le pourrai-je ? Ce soir, j’ai besoin d’un signe.

 Le soleil dans sa cloison doré se mire dans tes yeux mais ce soir, il m’a échappé. Je n’ai que la lune qui règne dans l’azur des cieux. La brume de ma raison efface tout sur son passage. Je suis si mal. La douleur soulève des torrents ruisselants pour me montrer ton ombre.

 Je sais que tu es là, c’est ma consolation. Je veux m’endormir tout contre toi. Sentir ton souffle comme une caresse. Je veux revoir l’amour dans tes yeux, entendre à mon oreille, les murmures de ta voix. Ô douceur qui m’enivrerait.

 Ce soir ton image dort sur mon cœur. Mais ne tarde pas trop car souvent ma pensée s'égare dans un brouillard sombre.

Tu es celui que j’aime, que j’attends, tu es celui pour qui je prie, évoquant toujours le même vœu. Dis-moi mon amour, feras-tu de mon rêve, une réalité ?

©Janedeau

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Quand je te retrouve

 Serge

 

Quand je te retrouve

Je veux aux abords des songes, égarer ma pensée. C’est là que je te retrouve, mon amour, que tu prends ma main me conduisant jusqu’à la fontaine des roses.  J’y fais toujours ce même vœu, celui de t’aimer indéfiniment.

 L’air tiède de l’été ravive mon amour pour toi et un feu brûlant courre dans mes veines.  Cette sensation qui m’enivre est meilleure que toutes les boissons aphrodisiaques. Si je subsiste, c’est dans la rumeur de tes vagues d’amour.

 C’est dans le vent de tes désirs que naît mon bonheur. Que tes rivages serpentent dans l’ombre d’un ruisseau qui languit de te voir et me montrer ton visage. Il est encore plus beau et plus doux que le chant de millier d’oiseaux.

C’est dans sa limpidité que je touche tes lèvres.  Que mes baisers viennent se poser sur ton torse. Dans ton harmonieuse source, je me désaltère. Le ciel ivre dans son berceau d’étoiles s’ouvre en millier de soleils.

Oh que j’aime à te retrouver sous les voilages de l’aurore et te serrer fort dans mes bras. J’aime ses divins instants où nos deux corps enlacés ne font qu’un. ©Janedeau