samedi 12 juillet 2025

Mon hypersensible amour


 
Serge

 Mon hypersensible amour

 Tu es sensible à ce que je t’écris, sensible à ma peine. Ému aussi par tout mon amour pour toi. Oh pourquoi a-t-il fallu, vers un autre ailleurs, que tu t’enchaines ?

 Je vais seule car personne ne m’aime, je détourne l’amour qui n’est pas de toi. Je vais seule sur les routes à ne penser qu’à toi, à ne voir que toi. On pourquoi le Dieu de l’univers m’a-t-il oublié ? Ma souffrance remplit mon cœur ce soir.

 Mon hypersensible amour, je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai encore dans dix mille ans. Pourquoi as-tu fermé les yeux sur mon amour pour toi ?  Il y a maintenant tant de gouttes pluie qui remplissent les ruisseaux que tu peux voir mon ombre si tu es attentif.

 Moi ce soir, j’ai regardé tes photos, lu toutes nos lettres. Ce doux souvenir m’a grisée et en même temps m’a peinée. Pourquoi n’es-tu pas revenu ? Chaque jour, à ma fenêtre j’attends ton retour. J’imagine nos retrouvailles scellées dans un éternel baiser. Quand je ferme les yeux, je revois tes sourires dans tes yeux. J’entends ta voix dans ma tête et sur mes lèvres je répète ton nom dix mille fois pour que le vent qui t’accompagne te parle de moi

 Mon hypersensible amour, j’en veux au soleil de s’endormir juste sur ton épaule et j’en veux à la lune d’exaucer rien que tes rêveries. J’en veux à la terre entière pour tous mes malheurs et mes peines qui abreuvent les nuages.

 Dis-moi mon grand amour, quelle est ta pensée ? Me reviendras-tu ? Dois-je encore espérer ou me laisser mourir.                                                     ©Janedeau

vendredi 11 juillet 2025

Instant de bonheur


 
Serge

 

Instant de bonheur

Tu es là et tu m’aimes, je sais. Ton image palpitante m’accompagne à chaque instant du jour ou de la nuit. Tes berges blanches épanchées dans mes rêves éveillés m’attirent. Entre tes bras, c’est l’azur d’un ciel bleu qui met dans mes yeux, tout ton amour. Pour toi, je me fais belle et je t’étreins encore plus fort.

 Je pense à la source de tes lèvres, oh divine euphorie qui me transporte dans un état d’extase. Tes baisers m’abreuvent, m’attirent et m’enfièvrent. Je suis enchainée à ton emprise.

 Mon amour, tu es là dans mon sommeil, les bras chargés de boutons d’or. Ton parfum me grise, il répand en mon cœur des effluves d’ivresse. C’est le soleil endormis entre tes bras qui fleurit les ombres de mes songes portant ton nom.    ©Janedeau

 

*Tes berges blanches : image poétique qui sous-entend ton corps 

jeudi 10 juillet 2025

Cette musique


 
Serge

 

Cette musique

J’aime cette musique qui vient du cœur. Elle me parle de toi, me raconte tes rêves. Ton voyage sur les mers et la grande ile que tu as foulé.

L’ivresse dans tes yeux embellit ton souvenir qui me revient en mémoire.  Feras-tu de mon cœur, ton élue ? Quand je pense à toi, le bonheur trempe ton image sur des chemins harmonieux qui m’emportent près de toi.

Le soleil sous les nuages de pluie se cache en ton absence. Je me demande si un jour tu viendras à ma rencontre. Si tu me diras je t’aime. Le temps défait les mailles de l’espoir et le cœur perdu, je ne sais que penser.

 Me reviendras-tu mon grand amour ?  Je n’ai jamais aimé autant. Je n’ai jamais eu des étoiles dans les yeux qui me rendraient ivre. Les seules qui ont jetées l’ancre dans mon port, venaient de tes yeux.

 Suis-je donc si quelconque pour n’avoir droit qu’à tes silences. Ils me blessent tellement. Je voudrais tant vivre avec toi, un grand amour. À la fontaine des vœux, c’est toujours toi que je sollicite.

 C’est toujours toi qui habites dans mon cœur. Toi qui illumines mes rêves, toi qui me rends belle. Me reviendras-tu mon grand amour ? Ne me laisse pas dans l’incertitude. La souffrance d’amour est un mal dont on ne guérit jamais. ©Janedeau

 

mercredi 9 juillet 2025

Tu es resté mon grand amour

Serge

Tu es resté mon grand amour

 

 La mer et les grandes îles apparaissaient dans tes yeux, les bateaux flânaient le long des quais. Les vagues teintées de ciel infini m’emportaient faire naufrage au creux de tes bras. Oh qu'il était doux de rêver à toi. Le soleil déposait dans mon cœur, sa flamme.

 

 C’est comme cela que j’ai appris à aimer la mer et le langage des oiseaux marins.  Les grandes mouettes et les goélands des mers connaissent bien les routes maritimes et tous les secrets de l’univers. Ils déposent sur l’aube, des voiles d’étoiles.

 

 Dans la brume de ma raison, je revois les sourires de tes yeux et la joute sublime de nos deux cœurs enchâssés. Tu es resté mon grand amour, celui qui semait la brise. Tu éveilles mes rêves à l’amour.  Les phalènes n’éclairent plus l’euphorie de la nuit car à chaque instant, le soleil brasille sur ma âme.

 

Dans tes yeux, je ne vois que des paysages de rêve.  Les grandes vallées exaltent des mélodies où les champs d’asphodèles, les violettes et les roses annoncent un été d'amour.

 

 C’est toi qui faits fleurir la romance de mes mots quand je t’écris. Il y a dans tes yeux, des rives où dorment les rameaux des berges et où s’éveillent mes rêves de toi. Il y a aussi la beauté des cieux qui m’abreuve. Complice et éprise, mon âme papillonne autour de tes yeux. Tu es resté mon grand amour de vent !                                                               ©Janedeau




Voici à nouveau une création passée car mon photoshop me donne des misères

et comme il se fait tard, j'ai également remanié ce texte.


 

mardi 8 juillet 2025

Vois comme je t'aime

 

 Me voici : Janedeau.    photo prise mardi le 8 juillet 2025 à Cap Rouge, Québec

 Pour mon grand amour

Je voulais mettre ma photo dans la colonne de droite ou de gauche

mais je ne me rappelle plus comment faire... 



Serge

Vois comme je t’aime

Mon amour, regarde mes yeux, il y a des cités d’étoiles parce que je pense à toi. Mes souvenirs d’amour enivrent mon cœur qui frissonne à ta pensée.

 Vois, je suis ta fleur, la plus belle de ton jardin parce que tu illumines toute mon âme. Tu remplis mon carnet de chants d’amour que je fredonne tout bas, rien que pour te rejoindre en pensée.

 Vois comme l’attirance est forte, c’est toute ta personne qui m’attire. Autant tes rêves que la réalité des jours. Autant tes nuits quand tu m’embrasses ou que je te regarde dormir. De toi, tout est sublime.

 Chaque jour j’attends ton retour, j’espère que ton cœur sera sensible à mes mots d’amour. Car cette espérance ne peut que se réaliser sinon je pense vraiment que j’en mourrais.

 Vois, je prononce toujours ton nom, il fait partie de ma vie. Tu es celui que j’ai choisi et qui habite sur l’île de mes jours. Le soleil échappé des nuages revient se blottir sur ton épaule et je rêve que de m’y blottir en tes bras.

 Chaque nuit, je vois ton image. Le silence ne me parle que de toi. Car il sait que je t’aime et que je langui de te revoir, que je veux pour le reste de mes jours n’appartenir qu’à toi.

 Pardonne-moi d’être une grande romantique. C’est moi la rêveuse qui veut vraiment te plaire. Puisses-tu entendre mon cœur te réclamer ! Me reviendras-tu mon amour ?                                                                                          ©Janedeau