samedi 6 septembre 2025

Fils du vent


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Serge 

 

Fils du vent

Fils du vent, ô comme j’aime ton image qui descend des nuées de l’aurore et m’éveille doucement sous le déluge des souvenirs. J’erre dans la brume de ta pensée, le cœur remplit de toi.

 J’aime la clarté qui me montre ton visage. Tes yeux ont la profondeur des océans et ton accueillante ile aborde mon âme. J’aime le chant d’amour sur tes lèvres qui fait fleurir mes désirs, j’aime entendre ta voix qui porte des accords mélodieux.

 Si tu vois dans mes yeux, un amoureux désir et si ma main cherche la tienne, prend la. Emmène-moi dans le jour qui goutte à ce plaisir de nous voir réunis. Conduis-moi sur l’euphorie des chemins de la nuit s’abreuvant des nectars de notre amour.

 Fils du vent, j’aime ton nom et j’aime les étoiles que tu fais naître dans mes yeux bâtissant des passerelles entre toi et moi. J’aime quand ton souffle sur mon corps se fait brise et que ta douceur ranime le bonheur et la tendresse.

 J’aime savoir que tu penses à moi, que tu gouttes ses délices écrit rien que pour toi. C’est mon cœur qui te parle et en chaque instant, je languis du jour où tu viendras cueillir mon amour pour toi. D’ici là, mon âme s’enivre quand je pense à toi.                                                                                             ©Janedeau

 

vendredi 5 septembre 2025

C'est toi que je désire


 
Serge

C’est toi que je désire

Quand je te vois, même dans mon rêve éveillé, ton cœur calme ou troublé reflète toujours l’harmonie. Le caprice des vents sensible à tes regards remplit d’un charme la douceur ineffable de mes souvenirs de toi.

 De penser à toi, c’est comme le frémissement mystérieux d’une brise qui agite ton ombre et dessine sous ma pupille le bonheur. Je ne peux que fermer les yeux pour te sentir encore plus près. Ce souffle divin me rappelle tes baisers et tous les délices entre l’asile de tes bras me serrant contre toi.

 Souviens-toi, le jour d’un beau soir d’automne a mis dans mon cœur une réjouissante aurore. Comme je t’ai aimé.  Je voudrais que la tristesse, dans un adieu me quitte. Que tu reprennes le cours arrêté de notre amour. Tu ne sais pas combien de fois, j’ai pu tomber sous les orages. Combien de fois, je t’ai cherché dans la brume, livrant mon âme à tant de pleurs et de souffrance.  Je t’ai cherché dans l’accalmie des brises enchainée à ton image. J’ai espéré, prié, supplier, implorer le Dieu d’amour tant de fois pour que tu me reviennes.

 Mon amour, un jour, tu es parti et depuis, mon cœur redemande en vain ta présence. Tu es comme un ruisseau gracieux. Tu embellis de tes murmures les rivages aimés du soleil. Mon âme s’enflamme à chaque instant où tu baignes dans mes yeux.

 Oh viens, viens pénétrer et réjouir mon cœur. La reine des ombres ne me montre que ton ombre. C’est toi que je désire, mon amour. Me reviendras-tu bientôt ?

Serge, veux-tu m’épouser?                                                                    ©Janedeau

 

♥♥♥ 

*Le terme « ineffable » (adj.) décrit ce qui ne peut être exprimé par des mots, soit par son intensité (un bonheur ineffable)


♥♥♥

Une grande fatigue aujourd'hui

Journée mouvementée

J'ai reçu ce matin un électricien pendant 3 heure

ensuite en début pm porter mon auto au garage

(pour le faire graisser en dessous)

et retourner le chercher vers les 4 heures 

Entre tout cela, commencer à replacer des meubles 

Bon weekend à tous 

jeudi 4 septembre 2025

C'est pour toi



 Serge

C’est pour toi

C’est pour toi que mes doigts frissonnent et font chanter dans mon cœur d’impalpables muses qui t’enivrent. Ses mots d’amour portent le soleil et la lune comme un nouveau présage. C’est pour toi que mes nuits s’envolent sur la cime de tes rêveries. Que le vent soupire à ta pensée. 

 C’est pour toi que le petit bois d’à côté exalte en ta présence, l’orgue mystérieux de sublimes accords. Que le jour se réveille dès l’aurore imprégné de ton charme et que le soleil là-haut dans un ciel d’azur te cherche, Il aime voir, comme moi, des sourires dans tes yeux.

 C’est pour toi que les fleurs de l’aube ouvrent leur corolle satinée t’offrant d’exquises fragrances. Pour toi, je suis comme une fleur qui jamais ne se fane et qui s’émeut quand tu penses à moi. Tu es mon espérance, mon grand amour. C’est pour toi que je vis et que je meurs d’amour.

 Jamais n’avait autant chanté mon âme d’amante, jamais parmi mes songes, tant de divines errances ne s’étaient élancées que vers toi. Jamais les vents du désir ne t’avaient autant désiré mon bien-aimé.  Mon cœur déborde d’une céleste flamme. Je veille et je soupire dans l’attente de tes bras m’enlaçant. Parle-moi, parle-moi car je languis d’amour.                                                          ©Janedeau

 

* Muse : poésie littéraire (inspiration)

*Impalpable : aérien (dans l’air, dans le ciel)

* Fragrance : parfum, exhalation, arôme