samedi 26 juillet 2025

En pensant à toi


 
Serge

En pensant à toi

 Ce que j’ai tant rêvé m’emmène à ta source là où j’aspire. Là où je m’enivre de tes mots murmurant comme une rivière des désirs de soleil m’abordant en son quai, c'était hier, souviens-toi.  Tes balades poursuivent les randonnées de mon cœur et je te vois si heureux dans ses paysages de rêves. Tu me manques tellement.

Ah si tu pouvais revenir au pays de mes yeux. Prendre les bonheurs du jour qui te sont destinés. Mon ciel d’azur t’offrirait cette coupe d’avenir débordante de vie.

 Je t’ai aimé dès le premier jour où j’ai croisé les sourires dans tes yeux. Depuis cet instant, les étoiles ne cessent d’affluer dans mes yeux quand tu longes la rive de mes songes. Ce profond amour colore mes ivresses de ta pensée.

 Tu es là entre mes bras et sous mes doigts, je ressens le frisson de ta passion. Le soleil m’éclaire de lumière et de chaleur, emportant mon âme se lier à ton âme. Oh qu’il est doux te rêver. Nul chant en mon cœur n’est plus beau que cet intense sentiment que je te porte.

 Là, je n’ai que tes silences pour m’emporter dans les brumes de ma raison, que des mots pour t’écrire des je t’aime.  Est-ce que cet espoir qui veille en mon cœur cueillera un jour la beauté de ton âme ? Te laisseras-tu apprivoiser ma tourterelle d'amour ? Reviendras-tu au pays de mes exils ? Je n’attends que toi et n’aime que toi.                                                                                   ©Janedeau

 


 

vendredi 25 juillet 2025

Ton regard

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Serge

Ton regard

Que l’étoile majestueuse de tes yeux est douce quand elle s’avance sur la cime de mes pensées. Ton regard palpite dans mon cœur. Ton souvenir me revient faisant des bonds comme un jeune faon venant à ma rencontre. Ô que je t’aime! 

 Je t’aime quand tu me regardes et que tu viens prendre ma main m’emportant sur ce sentier qui longe le pas des ombres. Je t’aime quand tu me berces dans tes bras comme les roses oubliés se balançant dans la brise du soir.

 Tes yeux portant des sourires me transportent dans un autre monde inconnu où je me sens femme soumise entre tes mains. Sous ta paupière, ton île vogue sur l’océan de mes délires.

 Ton regard empreint de rayons de soleil soulève mes émois et réchauffe mon cœur.   Pour colorer l’azur de mon ciel, je m’habille de ta tendresse.

 Mon amour, pourquoi tu ne viens pas, mon amour pour toi n’est-il pas assez fort ? J’ai dans les yeux des océans de larmes. Ma peine voyage dans des cités de royaumes perdus. Je ne sais pas comment je fais pour survivre. Ma douleur fait toujours naufrage sur des abîmes d’écueils et chaque jour, j’en perd la raison. Je crois toujours mourir.

 Mon amour, viendras-tu me sauver ? D’ici là, l’espoir veille toujours en mon cœur. Je t’attends encore au gré des jours d’été qui sommeillent dans les rêves. Tu demeures mon grand amour, je ne peux t’oublier. Peut-être la venue de l’automne mettra tes yeux accrochés aux miens et tes lèvres sur les miennes.  Un souhait que je reformule sans cesse.                                                  Janedeau


jeudi 24 juillet 2025

Les refrains du jour

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Serge

Les refrains du jour

Dans ma solitude, les refrains du jour accompagnent mon cœur et mes messages pour toi portent les vents du désir qui renaissent toujours à ta pensée, mettant sur mes doigts des rayons de soleil.

 L’écorce des bouleaux, le long des routes me supplie de t’écrire des mots doux. Vois, ton souvenir se perd dans mes pages d’amour. Les mots courent comme des notes de piano sous mes yeux.

 Viendras-tu enfin te lier à mon âme ? Prendre ma main et suive le parcours des chemins étroits qui mènent à l’éternité ? Le jour dessine l’aube de clarté et réveille encore mon cœur à l’amour que je te porte. L’illusion de ton ombre étendue près de moi, garde l’haleine chaude d’un automne ému.

 Vois comme l’été rêve de nous. Du jour au crépuscule, le soleil au bal des oiseaux, danse sous une pluie d’étoiles. Mon cœur t’a aimé dès le premier jour de notre rencontre, l’azur du ciel bleu était dans tes yeux et ta voix, je l’entends encore en fermant les yeux.

 La nuit qui passe dans ses voiles fait durer mes rêves de toi. Jamais tu ne quittes mon cœur. Dis-moi, m’aimeras-tu autant que je t’aime ?                     ©Janedeau



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