Tu es là, juste à côté. En
fermant les yeux, je peux presque te toucher.
Je voudrais cueillir sur
tes lèvres un baiser. Retenir les orgues de l’aube qui se lèvent, pour te
garder plus longtemps dans mes bras.
Mais les heures qui défilent
éloignent ma nuit et le soleil n’est pas au rendez-vous. Je me demande si en ce
moment, tu penses à moi, si tu ressens mon désir de te voir.
Tu es mon amour, le plus
beau entre tous les hommes, tes yeux encensent l’onde des ruisseaux de mon cœur
qui me montrent ton image. J’aime qui tu es. J’aime les oiseaux qui chantent
pour toi. Les paysages endeuillés de gouttes de pluies ne réussissent pas à
assombrir l’amour que j’ai pour toi.
Je voudrais pouvoir
toucher ton cœur, être ton amante, ton épousée. Prendre ta main dans la mienne.
Faire de nos deux cœurs, un nid d’amour.
Lui, il était le vent qui
m’emportait au délire des vagues.Je n’avais pour pensée que
son image en radeau ivre sur mon cœur. Émus, les albatros ouvraient le chemin des
retrouvailles.
Lui, mon hypersensible
amour que j’aime, il faut que je te retrouve à la frontière des cœurs perdus. Car
tu es le vent, qui fait écho à ta voix. Et j’y entends les accords majestueux de
ton nom. Au petit matin, je compterai les perles de rosée pour faire renaître
mes rêves de toi.
Ô ma brise d’été que tu
fais naître sur mon âme, j’ai les yeux tout plein de toi. Mon royaume d’étoiles
frissonne en t’attendant. Mon grand amour, viens à
ma rencontre, sur les sentiers fleuris de lilas mauves.
que j'ai mis des articles sur mes deux autres blogs
Serge
Je voudrais que tu me
parles, que ta voix pénètre dans tous les recoins obscurs de mon âme. Que tu
sois au moins avec moi dans tes pensées.
Oh pourquoi ses autres m’ont-ils
dérobé ton amour. Bien si précieux ? ô pourquoi
? Depuis je ne suis qu’une âme errante. Aveuglé par les ténèbres de la nuit.
Les murs de ma raison sont comme une prison. Dans ma tête, les innombrables
tunnels me semblent sans fins, ce soir je ne trouve pas ton chemin.
Dis-moi, me reviendras-tu en ses
prochains jours ? M’emporteras-tu à la source de tes lèvres pour que je puisse m’y
abreuver. Ne vois-tu pas l’été que tu fais naître en mes
yeux ?
Je veux entendre ta voix,
me perdre dans tes yeux. Je veux que tu me reviennes. Reviendras-tu ? Il faut
que tu me le dise. Chaque jour, c’est une mort lente.