samedi 28 juin 2025

Ton nom sur mes lèvres

 

 

Serge
 
Ton nom sur mes lèves

Le cœur brûlant, j’ai toujours ton nom sur mes lèvres, je maintiens l’espérance que tu me reviennes. Mais reviendras-tu vraiment ? Je n’ai rien qui me le certifie. Et je me demande… Dans mon cœur, il y a toujours cette peine qui me tue à petit feu.

 Je dois lutter contre mon esprit négatif. Il me faut oublier ce sentiment de vide. Le pourquoi, sans cesse je m’évade dans les brumes de l’errance.

 Ses brumes de l’errance me connaissent bien. Elles se dissipent toujours et mettent sur mes chemins ton ombre qui me montre ton image. Ton ombre, la plus belle des ombres embrasse mes rivages et je vogue pendant des heures et des heures sur les vagues de ta rivière bleue.  

 Mon amour, tu m’embellis quand je pense à toi. J’ai dans les yeux ses même étoiles qui chantent pour toi. Je ne vois personne d’autre que toi, tu es ma seule conquête. L’amour de ma vie.

 Ton nom sur mes lèvres me brule d’extase. J’ai envie de toi, envie d’être dans tes bras. Faire le reste du chemin de ma vie avec toi.

 Oh pourquoi ne viens-tu pas ? N’entends-tu pas mon cœur qui se déchire en ton absence ? En aimes-tu plus une autre ? Toutes ses questions sans réponse me reviennent comme la terre qui tourne toujours sur elle-même.

 Chaque jour, pour oublier, je fleuri mon jardin de merveilleuses roses rouge. Je sème pour toi des pétales de cœur sur les routes. Le vent qui m’accompagne me parle de toi. Et je rêve et je rêve, je rêve à toi, à ton retour.

Dis-moi mon amour, c’est quand on se mari ? Je veux t’appartenir corps et âme pour toujours.

©Janedeau


 
.

vendredi 27 juin 2025

Ma pensée

 

Comme je suis très fatiguée ce soir,

je vais prendre une quelconque création que j'ai fais

Chez Maxilo, on m'a passé des scanners 

j'ai arrivé en retard à mon rendez-vous de pm

car sur l'autoroute il y avait plein de bouchons

et il y a toujours des fous au volant...

Ce qui fait que je suis exténuée 

(C'est ma fille qui m'a amenée) 


 Serge

 Ma pensée

Ce soir, épuisée par ma dure journée, je ne tarderai sans doute pas a pénétré dans les arcades de mon rêve. Je veux te voir un peu mon amour avant que le sommeil ferme tes volets.

 Ma pensée verdira ton île de lit de mousse et de verdoyantes fougères. Les prairies s’habilleront d’ombre et de parfums d’été.  

Ma pensée fleurira les roses de ton jardin, les plus belles qui s’offriront à toi. Il y en aura une parmi qui portera mon nom. Elle sera la plus belle parce que tu es dans son cœur.

 Ma pensée boira tes nuits au calice de tes songes qui me rejoindront. Vois, je ne peux m’empêcher d’aspirer à ta flamme car tu es ma seule conquête mon amour. Le vent n’a appris de moi que ton nom, tu brûles mes lèvres d’un ardent désir.

C’est dans tous les jours et toutes les nuits que je veux bâtir avec toi notre union. Je t’attends toujours mon amour. Viens !

©Janedeau

jeudi 26 juin 2025

Regarde-moi

 
.

 Serge

Regarde-moi

 Regarde-moi mon amour, dans mes yeux, l’onde des flots harmonieux embrasse tes rivages. Ses baisers retenus captifs t’appellent dans les songes.

 Penses-tu à moi ?  Vois-tu ses champs d’étoiles recueillis t’invitant à récolter les semences de l’amour ? Elles brillent dans mes yeux comme tes sourires dont je languis.

 Regarde-moi, touche-moi, mon cœur redemande les frissons du soleil blottis sur ton épaule. Tout le jour, j’ai vu l’aurore te rêver.

Et j’ai prié, demandé, espéré, imploré ton retour au naufrage de mon âme. Le temps s’était arrêté. Et je n’ai vu que toi.

 Ma pensée a traversé tous les horizons de l’azur infini suppliant le Dieu du très haut de mettre dans ton cœur, le désir de me revenir. Vois comme je t’aime, comme l’amour est un diamant pur. Vois comme j’aime ta voix qui me grise. Quand je te vois, le bonheur est dans mes yeux. Vois l’onde des flots harmonieux embrasse tes rivages.

 Viens, tu es dans ma cœur, sur ma voix et tu habites toux mes écrits. Comment ne pourrais-tu pas me voir ou même m’oublier? Bientôt quatre ans et même le temps n’a pas su résister à mon cœur.

Viens, je t’appelle, laisse-toi bercer par mes mots d’amour.

©Janedeau 

Voir sur rivière bleue
de mes nouvelles 
dans le souhait du jeudi 



 

mercredi 25 juin 2025

Seule dans la nuit


 .

 Serge

 

Seule dans la nuit

 Seule dans la nuit, je me promène dans ton rêve. Je ne dors pas, la voûte azurée des cieux qui m’accompagne dessine ton visage. Je vois tes yeux flânant dans l'immense vallée de l’errance et je voudrais que le temps suspende les heures à ton image.

 Je voudrais être colombe, douce messagère t’apportant les rubis de mes mots d’amour, être celle à qui tu penses. Je voudrais être la brise frôlant ton corps. Que tu prennes ma main, que tes baisers soient le gage d’un amour éternel.

 J’ai encore souvenance de ta belle rivière bleue et ton lointain voyage sur les mers. L’onde des flots suit les ruisseaux de ma mémoire. Et la nuit qui n’en finit plus foule les ramages au bord de tes rivages. Ô sublime lit de verdure sous la feuillée, chant harmonieux bercé par les oiseaux quand j’ai ton ombre entre mes bras.

Il faut que tu me reviennes, il ne reste que l’été avant l’automne. Ô viens fleurir mon âme de roses rouge, symbole d’amour. Viens, je t'attends encore !

Je n’ai que mes mots pour te dire je t’aime ! Et mon rêve survit dans l’attente de ses mêmes mots pour moi. Me les diras-tu ?

©Janedeau

.

 

mardi 24 juin 2025

Viens

 

 Serge
 

 Reviens

Toi qui habites dans la solitude des brumes de ma raison, reviens quand fleurit l’aurore étendre ton ombre près de moi. Oublie un instant l’éventail du soleil qui inonde de sa lumière, les routes qui t’appellent.

Reste dans la douceur de mes rivages assoiffés de parfums au berceau des roses quand la rosée échappé de la terre enivre mon cœur où dort ton image.

 Dépose sur mon visage des couchants de lune. Dans mes yeux, les étoiles s’élancent dans la voie lactée de tes regards. Tu ne peux les manquer car leur chant charme tes silences.

 Viens adoucir la clarté du jour qui s’éveille, ne t’en vas pas, vois à ma fenêtre, les ailes de l’été dépose un soleil timide. Sur mes lèvres enfiévrées, le vent s’empare d’un baiser qui t’es destiné.

  Viens dans la demeure de mon rêve, que la nuit se prolonge encore un peu. Je veux t’aimer avant que la route t’emmène en ballade. Viens, seule ton image endormie dans mon cœur ne réussit pas à éteindre le feu qui couve en moi.

©Janedeau