samedi 2 août 2025

Si tu pouvais



Serge

Si tu pouvais

Si tu pouvais m’aimer, mon ciel serait un jardin de rose. Il n’y aurait que toi dans mon cœur. Que le bonheur de l’aube au crépuscule entrant par la porte spacieuse de nos nuits. Déjà qu’en fermant les yeux si forts, je peux te voir et ressentir ta présence.  

 J’aime ta voix aux accents de mes rêveries. Tes mots m’emportent dans un autre monde où il n’y a que nous deux. Je t’écoute en silence m’imaginant ta peine des années passées. Trop émue, je ne dis rien car je suis gênée. À certains moments, je n’ai pu m’empêcher de vivre mes émotions, c’était un intense délice où courraient sur mon âme, toutes les étoiles.

 J’ai aimé tes yeux où habitaient tes sourires. Cette joie quand remonte encore en moi, le souvenir, des frissons d’ivresse font naître des parcelles de soleil fondant sur mon corps.

 Oh mon amour, j’ai aimé tes lèvres se soudant aux miennes en un long baiser enfiévré. Juste à pensé à toi, le ciel m’ouvre les bras dans un fracas d’éclair qui m’enivre.  

 C’est pour toi que j’écris, pour toucher ton cœur. À chaque instant le bonheur me montre ton visage. Quand je tombe, je dois alors me relever car tu me reviendras assurément.  Car qui pourrait ignorer un tel amour voguant d’ile en ile sur tous les océans de la terre.

 Ton nid douillet habite les cimes de mon amour pour toi.                    ©Janedeau


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vendredi 1 août 2025

Toi ma muse


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Serge

Toi ma muse

J’écris pour toi des mots d’or encrés de soleil. Dès l’aurore, les horizons d’azur s’abreuvent de baisers. Dans l’antre de ma tristesse, je rêve à toi. Et ce songe plein de tendres souvenirs m’emporte sous un autre ciel nostalgique. Sur des routes teintées de brume, je ne vois plus ton visage, je n’entends plus ta voix.

Dans le tournant, ton ombre accrochée aux ombres des grands arbres, descend avec le couchant du jour. Tes regards distribuent à tous ta tendresse. Mais jamais tu ne m’accordes ton coeur. Que suis-je donc alors ? Un oiseau à l’aile brisée.

 Toi ma muse qui ne m’a donné que des rêves, j’écris pour ne pas pleurer. J’écris pour toucher ton cœur. Mais la nuit boit toutes mes espérances et ta rivière bleue déborde avec ma peine.                                                                                      ©Janedeau

 


 

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jeudi 31 juillet 2025

Sérénade


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 Serge

Sérénade

J’aime ses notes de guitare remplie d’harmonieuses sérénades, elles viennent des étoiles glissées dans tes yeux.  Dis-moi si tu les entends ? L’ombre devance le soleil, bientôt la nuit descendant sous mes pas, te rêvera.

 Seule compagne, elle me montrera ton visage car tu habites dans les jardins de l’absence. Toutes les fleurs portent le deuil. Mon cœur qui t’appelle porte l’été dans ta voix que j’aime tant. Chaque jour, où je voudrais te voir, je dois fermer les yeux. Souvent je me demande où m’emmènera le destin, sans doute je mourrai sans toi.

 L’âme tourmentée, je m’enfonce toujours un peu plus dans de creux abîmes. Je n’ai que ton souvenir pour égayer un peu ma vie. Dis-moi, Pourquoi m’a-t-ont dérober ton amour ? Pourquoi le bonheur se presse-t-il juste dans ton coeur?

 Ce soir, l’exil de mes rêves cherche l’étroit chemin où tu viendras et me diras enfin je t’aime. J’aime ta voix et le vent qui parfois porte ton écho. J’aime tes yeux qui sont restés au miroir de mon âme. J’aime ton visage qui m’abreuve de mille délices. J’aime ton corps reposant sur un lit de mousse. Et j’aime te voir rêver, ton haleine porte le souffle de tous mes désirs.

 M’aimeras-tu et me reviendras-tu un jour avant que ne s’éteigne le soleil ? Jusqu’à quand devrai-je implorer Dieu ?                                                                                      ©Janedeau