L’automne dans son avancée, suit le chemin des larmes
Et ton cœur recouvert de ciel gris se pare d’absence.
L’âme perdu, je puise dans les rêves un peu de toi.
Je ne retrouve plus les espoirs qui me faisaient vivre.
Sur le chemin des regrets, je cherche encore ton ombre.
Il n’y a plus que désert et oasis tarie, j’ai du sable aux yeux.
Je ne vois plus rien, la tristesse est mon lot quotidien
Ta tendresse ne soulève plus que torrent de larmes.
Vois, le temps des amours me fuit comme au printemps.
Aux bals des oiseaux, j’erre seule, avec ma nostalgie
J’avais pourtant si fort prié, supplier, implorer Dieu
D’ouvrir ton cœur à la moisson de nos deux âmes.
Désormais le vent qui passe souffle sur mes désirs.
Et tu n’entends pas pleurer mon cœur déchiré.
Le remous des vagues, raconte mes naufrages.
Et dans les bleus de ma nuit, je ne peux t’oublier.
©Janedeau
Aucun commentaire:
Publier un commentaire