Serge
L’espoir vit encore
Toi mon insaisissable amour, mon cœur jadis s’est enflammé par un bel après-midi d'automne. Depuis tout me plonge dans les chimères et le rêve.
J’aspire encore à m’abreuver à ta source. Mais la destinée semble s’acharner à m’en tenir éloignée.
Qui es-tu donc fils du vent qui ne me dit nul mot, tes aspirations t’emportent-elles dans d’autres bras. C’est ce que je crois. Je demeure entre l’ombre et la lumière noyant mes incertitudes dans un monde irréel. Avec peine au fond du cœur, la tristesse laisse sur mon visage, des rigoles effaçant tout sourire.
Es-tu donc si bien dans ton milieu? Leur manque d’amour t’aveugle-t-il ? Car chaque jour passe dans des éternels silences. Et la douleur s’enfonce encore et encore dans mon cœur.
Comme imprégnée d’épines et de chardons, saigne mon âme. Je n’entends pas ta voix, mais tu la distribues à tous ceux qui t’entourent. Languissent-t-ils tous de t’écouter toujours à nouveau et deviner les notes harmonieuses que tu laisses échapper ? Moi j’en buvais chaque mot.
Mes sentiments pour toi dépassaient l’entendement. Ma plénitude reflétait la véracité de mon cœur amoureux. Mon humilité reflétant ma personnalité profonde et sincère m’a je crois, conduite en disgrâce.
Toi mon incroyable amour, tu habites toujours dans le jardin de mon cœur. Chaque jour, je t’offre la plus belle des fleurs embrassant ton doux souvenir. Ta pensée m’ensevelis sous des vagues brûlantes de désir. Je ne peux t’oublier.
L’espoir croît toujours en moi et peut-être bientôt réaliseras-tu la profondeur de mon amour pour toi et viendras-tu m’apporter des gerbes de bonheur déposant des étoiles qui feront briller mes yeux.
Tu es et resteras toujours mon grand amour. ©Janedeau
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