Serge
Celui que j’aime
Celui que j’aime porte la beauté des jours
Il souffle en mon cœur un intense amour.
Je me rappelle ses yeux remplis d’étoiles
Et sa voix, belle, dans les râles du vent
Qui me fredonne des échos de désir.
Dans les saisons de ses yeux, j’habite
L’été au fond de mon cœur a fait son nid
Les oiseaux blancs de ma tête roucoulent
Pour tes nuits, de purs chants d’ivresse.
Je t’appelle mon hypersensible amour.
N’entends-tu pas le tumulte des ruisseaux ?
Mon rêve éprit de ton ombre te cherche.
Ô viendras-tu t’endormir dans ma main,
Dans les champs des violettes et des roses
Où dodelinent tous mes espoirs de te revoir.
©Janedeau
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