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Pour ne pas mourir, j'imagine des paysages de rêves.dans mon coeur
Vois, mon quatrième automne qui me parle de toi. Comment as-tu pu ne me laisser
sans aucune chance ? Tu t'en ai allé dans la froideur de l'hiver de mon âme
Depuis, je sombre sous des poussières de lune, le cœur vide et attristé, je suis rendu au bout.
Viendras-tu,l'automne a tracé ton nom sur mon front comme une promesse
©Janedeau
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